avr 162009
Il suffit que le soleil darde ses rayons et aussitôt les parfums sont exarcerbés. En ce début de printemps, de plus en plus nombreuses sont les fleurs qui embaument les promeneurs, les jardins et la ville.
Les giroflées ravenelles…
Les pensées, les petites violettes et autres violas…
Suaves et presque entêtants, les orangers du Mexique (Choisya ternata)…
Senteur de miel du merisier à grappes (Prunus padus)…
Les lauriers-cerises (Prunus laurocerasus) aussi, mais avec une pointe de pipi de chat…
Les lilas bien sûr…
Il n’y a pas que les fleurs…
Plaisir trop rare au coeur de la grande ville, à savourer…
J’y avais pensé, figures-toi d’où le côté, rareté :-))))))
la bouse de vache ? seulement une fois par an au moment du salon de l’agriculture (LOL) !
faut attendre encore un petit peu pour le Lilas et les Prunus !
Une pointe de pipi de chat , tu dis toi ? :-))))
Pour l’odeur d’herbe et de foin coupé, la campagne, y a rien de tel; mais ça sent aussi la bouze de vache
Ben oui, ça Paris, ça devient plus rare encore…