juil 062012
 

Grenadier fleuri dans le cimetière Saint-Vincent, butte de Montmartre, Paris 18e (75)

Non seulement le froid terrible du mois de février ne les a pas achevés, mais le printemps humide et l’été tout aussi maussade n’empêchent pas les grenadiers parisiens de fleurir, offrant leurs corolles d’un bel orange chaud aux passants en mal de beau temps…

Très facile à cultiver, le grenadier est décoratif autant par le feuillage que la floraison. Les feuilles naissantes sont teintées de bronze et de cuivre, ensuite elles prennent une belle couleur vert vif brillantes et en automne, l’arbuste se pare d’un jaune vif parfois teinté d’orange aux tonalités particulièrement chaleureuses et lumineuses. Cet arbuste pousse bien dans un endroit très ensoleillé et plutôt abrité des courants d’air froid, même s’il est capable de résister jusqu’à -15 °C. En région parisienne, les fruits arrivent à se former, mais ils n’arrivent pas à murir le plus souvent.

On trouve des variétés à fleurs simples ou doubles avec différents coloris (orange vif, saumon, blanc et orange, jaune). Il existe une forme naine qui convient mieux à la culture en bac.

  3 Responses to “Été pourri, mais grenadier fleuri”

  1. […] les grenadiers à fleurs simples du cimetière Saint-Vincent sur la butte Montmartre (Paris 18e), voici un grenadier à grosses fleurs doubles […]

  2. Remarque sur l’été pourri : la vigne de St-S est indemne de toute pourriture pour l’instant (juste un peu d’érinose) : trop froid ? Si ça débarque, ça va faire mal, sinon la récolte va être fabuleuse.

  3. C’est bête, j’aime les grenadiers du sud, normaux, qui donnent des grenades…une madeleine de Proust !

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