sept 012012
 

Tinantia pringlei (Commellinacées) sur mon balcon, Paris 19e (75)

S’il n’y avait toutes ces taches et macules sur les feuilles, Tinantia pringlei aurait tout d’une banale misère. Ce sont des plantes de la même famille botanique, mais cette espèce que je vous ai présentée en avril dernier après l’avoir achetée à la Fête des Plantes Vivaces de Saint-Jean de Beauregard (91), est en principe rustique et faite pour vivre en plein air.

Tinantia pringlei (Commellinacées) sur mon balcon, Paris 19e (75)

La plante est robuste car elle a supporté les longues semaines d’enfermement à cause des travaux de ravalement. Et depuis son retour en plein air sur mon balcon, elle pousse à vue d’oeil. Les longues tiges s’enracinent au contact du terreau au niveau des entrenoeuds.

Même si elle est donnée comme étant rustique jusqu’à -15 °C, je vais faire quelques boutures avant l’arrivée des grands froids et je protègerai la potée avec un voile d’hivernage.

  3 Responses to “Tinantia pringlei, un faux air de misère”

  1. Elle pousse énormément en effet, en quelques semaines, elle a presque envahit tout son gros pot… Impressionnant !

  2. Chez un copain, elle a effectivement résisté à -15°C sans souci. Le problème est plutôt l’inverse: elle se montre envahissante, au point qu’il pense s’en débarrasser. Chez moi, je croyais avoir perdu la jeune plante installée en septembre 2011, mais elle est ressortie. Les limaces sont un adversaire plus coriace.

  3. […] surprise du week-end, mon pied de Tinantia pringlei se met à fleurir. Et ses fleurs, certes petites, n’en sont pas moins d’une […]

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