juil 072014
 

Une étude du cabinet KPMG sur les métropoles mondiales les plus appréciées des investisseurs internationaux démontre le dynamisme économique de Paris : elle est classée troisième ville la plus attractive au monde, avec un fort potentiel de progression à 3 ans.

Logo de la Mairie de Paris
Ce classement, réalisé chaque année par KPMG, se fonde sur un panel de 511 dirigeants d’entreprises internationales. Il analyse notamment l’image, l’attractivité et le potentiel à 3 ans.
Paris se place sur le devant de la scène internationale, à la 3ème place des métropoles économiques les plus attractives, juste derrière New-York et Londres. La capitale progresse de deux places par rapport au classement 2013.

Paris est la 3e ville ayant la meilleure image auprès des chefs d’entreprises. Elle est même deuxième en la matière auprès des investisseurs du Golfe, juste derrière Dubaï. La capitale devient par ailleurs la troisième ville avec la plus forte « attractivité actuelle », elle effectue un bond en avant de six places par rapport à l’année précédente et devance désormais Singapour ou Shangaï.

Pour KPMG, cette progression de l’attractivité parisienne va se poursuivre au moins pendant les trois prochaines années. Les dirigeants interrogés placent Paris à la 4e place des villes qui ont le plus « fort potentiel » de développement. Une situation en partie liée à la construction du Grand Paris : 83% des investisseurs le considèrent comme un accélérateur de l’attractivité économique.

Fin mai, une étude du cabinet PwC venait déjà couronner les investissements de la Ville au service du dynamisme économique, en classant la capitale « leader mondial de l’innovation » et du « capital intellectuel ». Elle vantait « la constance de Paris sur tous les critères testés, lui garantissant la première place, devant Londres, San Francisco, Stockholm et Toronto ». Paris était aussi jugée « ville à l’économie la plus dynamique de la zone euro ».

jan 072014
 

Affiche Paris Face Cachée 2014
Les 31 janvier, 1er et 2 février 2014, les Parisiens pourront découvrir 90 lieux originaux, alternatifs ou interdits lors de la troisième édition de Paris Face Cachée qui lève le voile sur les côtés secrets de la capitale la plus visitée au Monde.

Un événement ambitieux : le public choisit une expérience sans savoir qui l’organise ; le lieu de rendez-vous est tenu secret et n’est dévoilé que sur le billet, après inscription ! Pour cette nouvelle édition, Paris Face Cachée étend son terrain de jeu et va proposer des aventures, dans la capitale, mais aussi en Seine-Saint-Denis, en Essonne, dans le Val-de-Marne et les Hauts-de-Seine.

En 2014, les curieux pourront par exemple fouler le sol d’un institut en or qui a forgé nos plus grands sportifs; plonger, sous le regard bienveillant de La Grande Dame, aux pays des faiseurs d’obélisques, de cascades et de voutes; pénétrer une  galerie très privée d’art contemporain, à la rencontre de collectionneurs passionnés et  passionnants; reconnaitre les faux semblants et les imitations …

Les inscriptions à Paris Face Cachée seront ouvertes exclusivement en ligne sur www.parisfacecachee.fr pour toutes les expériences, gratuites ou payantes.
Deux dates distinctes d’ouverture de la billetterie sont prévues le 10 janvier et le 22 janvier, avec à chaque fois des expériences différentes.

 

oct 012013
 

Pièce d'eau dans le parc Kellermann, Paris 13e (75)
La Ville de Paris remporte le premier prix du concours « Capitale française de la biodiversité » dans la catégorie « Grandes Villes ». Organisé par Natureparif, ce concours national récompense l’engagement des collectivités locales en faveur de la préservation de l’eau et de la biodiversité.

Le jury a récompensé les actions menées par la Ville et sa régie Eau de Paris, et conduites par Fabienne Giboudeaux, adjointe chargée des espaces verts et de la biodiversité et Anne Le Strat, adjointe chargée de l’eau, de l’assainissement et de la gestion des canaux, afin de protéger les ressources en eau et de préserver la biodiversité, dans les domaines suivants :

  • La protection de l’eau
    S’agissant d’une priorité pour la ville de Paris, elle encourage, avec sa régie Eau de Paris, le développement de pratiques agricoles compatibles avec la protection de la ressource sur les aires d’alimentation de captages qui approvisionnent Paris. Les mesures de protection des ressources en eau (depuis les acquisitions foncières sur les aires de captage d’Eau de Paris, jusqu’à l’appui financier à la structuration de filière biologique…) contribuent également à la préservation et à l’enrichissement de la biodiversité.
  • Valorisation de la trame verte et bleue
    Ce prix récompense également la démarche de restauration et de valorisation écologique du patrimoine aquatique, de la source jusqu’aux réservoirs parisiens en passant par les aqueducs. 80% des 470 km d’aqueducs qui alimentent Paris en eau sont composés d’une large bande enherbée permettant à de nombreuses espèces animales et végétales de vivre et de se déplacer. Des espèces très rares ont même été répertoriées par le Conservatoire botanique national du bassin parisien le long de l’aqueduc de la Vanne en forêt de Fontainebleau
  • Renforcement de la trame des milieux aquatiques à Paris : créer un réseau de mares et milieux humides
    La mise en place d’un réseau de mares et de milieux humides intra-muros, conformément à l’objectif du Plan Biodiversité adopté par le Conseil de Paris en novembre 2011, la végétalisation et le déploiement de fontaine ont permis de donner une plus grande place à l’eau dans la ville.

L’objectif du Plan Biodiversité de Paris est également, de créer 40 nouveaux milieux humides d’ici à 2020, en s’appuyant notamment sur le Schéma de la Nature, pour mieux intégrer ces milieux, indispensables au bon fonctionnement des écosystèmes, dans l’aménagement des espaces verts.

oct 262012
 

Les résultats du projet Epicea (Étude pluridisciplinaire des impacts du changement climatique à l’échelle de l’agglomération parisienne) ont été présentés le 25 octobre 2012 à l’occasion des Journées Parisiennes de l’Énergie et du Climat organisées par la Ville de Paris. Le projet Epicea a été mené conjointement par Météo-France et le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB) pour apporter un éclairage scientifique sur de possibles adaptations du territoire face au changement climatique. Dévolu aux questions d’aménagement à long terme, de météorologie urbaine et d’impact du réchauffement climatique sur la capitale, le projet Epicea a été financé par la Ville de Paris. Il entre dans le cadre du programme de recherche « Paris 2030″.

Météo France

Les zones densément urbanisées sont soumises à des microclimats spécifiques. La géométrie des villes et l’imperméabilisation des surfaces, conjuguée avec la réduction de la trame verte, entraînent notamment la formation d’un « îlot de chaleur » urbain. Cet écart de température entre la ville et les banlieues ou campagnes environnantes peut atteindre plusieurs degrés. Il est plus marqué la nuit que le jour. En journée, alors qu’à la campagne l’énergie solaire est utilisée pour l’évapotranspiration des plantes, elle est stockée par les surfaces urbaines. Ces dernières commencent à la restituer en fin de journée, ce qui limite le rafraîchissement nocturne de l’air en ville. L’écart se creuse encore lors des pics de chaleur et des canicules : en août 2003, au plus fort de l’épisode caniculaire qui a touché la France, la différence de température entre le centre de Paris et les zones rurales environnantes a pu atteindre, la nuit, 8°C. Or, les projections climatiques effectuées pour le dernier rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (2007) laissent augurer à l’horizon 2100 un réchauffement moyen à l’échelle du globe de 1,1 à 6,4 °C ainsi qu’une multiplication et une intensification des vagues de chaleur. Des canicules comparables à celle de 2003 pourraient devenir courantes en France d’ici à la fin du siècle.

Lancé en 2008, le projet EPICEA avait pour objectif d’évaluer l’impact du changement climatique sur l’agglomération parisienne et de quantifier les effets de plusieurs scénarios théoriques d’adaptation sur le développement de l’îlot de chaleur urbain pour des conditions climatiques identiques à celles rencontrées à Paris lors de la canicule de 2003, et ainsi d’évaluer l’efficacité des mesures d’adaptation. Pour ce faire, les climatologues de Météo-France ont dans un premier temps analysé finement les effets de la canicule de 2003 sur Paris, en s’appuyant sur une description détaillée des caractéristiques physiques du cadre bâti élaborée par le CSTB en coopération étroite avec l’Atelier Parisien d’Urbanisme (APUR).

Retrouvez les rapports finaux du projet à l’adresse : http://www.cnrm-game.fr/projet/epicea

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fév 152012
 

Dans le cadre de son cycle de conférences mensuelles, Natureparif, en partenariat avec GEDEON programmes et Arte, invite le public à la projection du film : Île-de-France, une nature insoupçonnée.

Du cœur de la capitale jusqu’aux limites de l’Île- de-France, « l’invasion » est à double sens : l’urbanisation grignote la campagne et la nature investit la ville. Dans cet univers où l’homme est omniprésent, quelle place reste-t-il pour l’animal et le végétal ? Qui sont les petits débrouillards qui parviennent à s’adapter pour survivre ? Insoupçonnables ou familiers, ces opportunistes sont-ils condamnés à disparaître ?

La nature en Île-de-France révèle l’un des visages de la France sauvage…

Vous avez pu découvrir sur Arte le 29 janvier dernier le film « La France Sauvage », qui révèle au fil des saisons le surprenant patrimoine naturel de dix régions françaises. De la Bourgogne à la Corse, en passant par les Alpes et la Bretagne… un formidable voyage à la découverte de la biodiversité, que vous pourrez approfondir au printemps prochain avec la diffusion sur Arte de dix documentaires de 43 minutes, mettant chacun à l’honneur une région française.

C’est l’épisode explorant les richesses naturelles de la Région Île-de-France que vous êtes invités à découvrir lors de cette soirée, en compagnie des réalisateurs du film, et grâce auquel vous plongerez au cœur d’une nature insoupçonnée…

Un film raconté par Sophie MARCEAU, écrit par Marc GIRAUD et réalisé par Frédéric FEBVRE et Augustin VIATTE
En avant-première et en présence des réalisateurs
Le jeudi 16 février, de 18h à 20h
À l’auditorium de la Société Nationale d’Horticulture de France (SNHF), au 84 rue de Grenelle, 75007 Paris (Métro ligne 12, station Rue du Bac).
Entrée libre et gratuite, dans la limite des places disponibles.

Visitez le site de la série La France Sauvage : www.lafrancesauvage.com

sept 262011
 

Du 27 septembre 2011 au 12 février 2012, le Musée de la Vie romantique propose une sélection totalement inédite de travaux photographiques de Patrick Faigenbaum ayant pour sujet la capitale.

Photo Patrick Faigenbaum
Né à Paris en 1954, cet artiste majeur de la scène contemporaine française a choisi, après une formation de peintre, la photographie comme médium plastique. Son itinéraire, commencé en 1973, est centré autour de la notion de portraits qui participent pleinement de l’identité du lieu ou de la ville choisie auxquels il donne un visage. Au cours de ces dernières années, Patrick Faigenbaum a ainsi publié plusieurs ensembles d’images prises dans diverses régions ou villes d’Europe : Brême, Barcelone, Tulle, la Sardaigne.

« Pour cette exposition, Proche et lointain qualifient à la fois une géographie et une biographie. Patrick Faigenbaum, parisien de naissance, vit encore dans la capitale. Les lieux les plus proches sont ceux de l’intimité familiale : entre autres, un extraordinaire ensemble de portraits de la mère de l’artiste, des vues du quai de la Loire… Le lointain géographique se distribue selon les quatre points cardinaux du territoire métropolitain (dont Montreuil, Nanterre, Saint-Denis, Rungis), avec un accent particulier sur l’axe historique (les terrasses de Saint-Germain-en-Laye). Le lointain biographique est présenté dans un prologue qui rassemble, sous le titre « Rue Michel-Chasles », les images les plus anciennes de l’artiste, restées inédites jusqu’à ce jour. » (Jean-François Chevrier)

Tarifs exposition
Plein: 7 €
Réduit : 5 €
Jeune : 3,50 €.
L’accès aux collections permanentes est gratuit.

Ouvert tous les jours, de 10h à 18h sauf les lundis et jours fériés.

Musée de la Vie romantique
Hôtel Scheffer-Renan,
16 rue Chaptal,
75009 Paris.
Tél. : 01 55 31 95 67.