sept 232013
 

Bananier et papyrus baignés de soleil dans le Jardin des Plantes, Paris 5e (75)
Un beau mélange de toupets échevelés et de larges éventails dans lequel le soleil se glisse avec quelques fusées d’une persicaire. Un trio très exotique, exubérant en diable.

Du soleil, beaucoup de soleil, un sol riche et plutôt humifère et des arrosages copieux et réguliers sont nécessaires pour obtenir cette profusion en quelques mois seulement, le temps d’un été.

sept 162012
 

Pennisetum et Cyperus papyrus, Vallée aux fleurs du Parc Floral de Paris, Paris 12e (75)

Le mélange d’herbes aux écouvillons (Pennisetum) et de papyrus (Cyperus papyrus) est pour le moins insolite, mais le résultat est vraiment fantastique, surtout quand les rayons du soleil et le vent jouent avec les épis plumeux et les têtes ébouriffées du cypérus.

Pennisetum et Cyperus papyrus, Vallée aux fleurs du Parc Floral de Paris, Paris 12e (75)

Pennisetum et Cyperus papyrus, Vallée aux fleurs du Parc Floral de Paris, Paris 12e (75)

Jeu de transparences, effets de brillance, le tout changeant au gré du temps… Les massifs scintillent, bruissent, frémissent…
J’aime beaucoup, passionnément, à la folie !!!

À voir et contempler dans la Vallée aux fleurs du Parc Floral de Paris (Paris 12e).

sept 082012
 

Papyrus (Cyperus papyrus) dans un massif du jardin des présentateurs, parc de Bagatelle en été

De l’eau et du soleil, il n’en faut pas plus au papyrus (Cyperus papyrus) pour déployer ses larges toupets suspendus aux extrémités de longues tiges raides. En quelques mois à peine, la petite plante installée au printemps devient une grande gerbe qui frémit à la moindre brise.

Papyrus (Cyperus papyrus) dans un massif du jardin des présentateurs, parc de Bagatelle en été

Que ce soit en pot ou dans un massif, le papyrus n’est jamais aussi beau que lorsqu’on l’installe dehors en plein soleil pour la belle saison. À l’intérieur, à moins d’avoir une véranda, une serre ou une pièce très ensoleillée et peu chauffée, il est difficile d’obtenir des sujets aussi vigoureux et imposants que ceux plantés dans le jardin. Cette espèce pousse moins bien dans un appartement que son proche petit cousin, Cyperus alternifolius, plus facile à cultiver en plante d’intérieur.

Mais si vous en avez en pleine terre dans votre jardin, il va falloir penser à bientôt les rempoter pour les rentrer avant l’arrivée des nuits trop fraîches. Avant la fin du mois, il faudra mettre à l’abri les potées, dans un emplacement baigné de soleil le plus longtemps possible dans la journée. Et évitez la proximité des radiateurs qui dessèchent l’atmosphère et favorisent les attaques d’araignées rouges très dévastatrices.

juil 262008
 

Les 33 palmiers apportent une touche d’exotisme aux bords de Seine, mais d’autres petits jardins éphémères, tous aussi exotiques, réservent des surprises quand on se ballade le long de Paris plage sur le quai de la Seine.Installées sous les brumisateurs qui rafraîchissent les passants (aujourd’hui c’était nécessaire pour supporter la lourdeur du temps), des plantations de papyrus (Cyperus papyrus) et d’autres plantes aquatiques (des houttuynias notamment) se trouvent enveloppées d’un fin brouillard qui vous trempe en un rien de temps. C’est tout juste s’il ne fallait pas faire la queue pour se faire mouiller. C’est qu’il y en avait du chat noyé !!! Mais heureux et rafraîchi. Vive l’été et Paris plage !