Une branche est tombée et a laissé une cicatrice dans la belle écorce de ce conifère. Une marque en forme d’oeil, avec une perle de résine au coeur.
Vu et photographié dans le parc de la Villette (Paris 19e).
Ses deux yeux nous fixent… et sa bouche semble vouloir nous dire quelque chose…
Un détail d’une écorce d’arbre photographié dans l’Arboretum National du Vallon d’Aubonne en Suisse début juillet. Curieux n’est-ce pas ?
En descendant du tramway T3 sur le Cours de Vincennes, j’ai aperçu de loin quelques uns de ces cornouillers aux tiges orange et rouge vif presque fluo. Malgré la pluie et le vent, je suis donc parti voir de plus près ces arbustes que j’aime beaucoup. Et j’ai ainsi découvert les longs massifs traçants des lignes rouges dans le paysage urbain le long de l’avenue de la Porte de Vincennes, en limite du 12e arrondissement de Paris.
Très tôt en hiver, les saules pleureurs arborent des teintes jaunes lumineuses presque fluorescentes sur certains rameaux pendants. Un seul arbre suffit pour apporter un peu d’éclat dans un paysage hivernale froid et sombre comme ici dans le parc des Buttes-Chaumont (Paris 19e).
Les pousses les plus récentes sont les plus vivement colorées. Au fur et à mesure que nous allons nous rapprocher du printemps et du retour des beaux jours, cette couleur va s’intensifier sous la montée de la sève et la reprise de la végétation.