juin 162014
 

Présentation du mobilier BUD chez Artazart (Paris)
Artazart Design Bookstore vous invite au lancement de la gamme de mobilier design et éco-responsable B.U.D, lancée par le label Raison Durable.

La gamme B.U.D, c’est :

  • Une gamme de mobilier en chêne massif fabriquée en Normandie,
  • De l’artisanat au prix industriel pour un design à portée de tous,
  • Des commandes livrées à Paris, directement par péniche,
  • Un lien entre le Beau, l’Utile et le Durable.

www.atelierbud.com
https://www.facebook.com/atelierbud

Quand ?
Le jeudi 19 juin 2014 de 15h à 20h.
À l’occasion d’un lancement unique en son genre, la gamme B.U.D arrivera directement du Havre par péniche pour s’amarrer toute l’après midi du 19 juin aux portes d’Artazart et au bord du canal Saint Martin.

Au programme

  • Présentation du mobilier, de la marque et du label.
  • Concert de Jazz éthiopien
  • Réalisation de sculpture temporaire et jeu participatif
  • Remise symbolique d’un meuble à destination d’une structure sociale.

 

Artazart

83, quai de Valmy, 75010 Paris.
mai 012013
 

Tapisserie Mille fleurs sauvages, Dom Robert

Cette exposition s’intéresse à l’iconographie de la flore et de la nature à travers les siècles, grâce à un parcours autour de six thèmes et en confrontant oeuvres anciennes et contemporaines.

Le thème de la flore est particulièrement en faveur dans la production des tapisseries dès le Moyen-Âge. Au fil du temps, en fonction des modifications du goût, de l’évolution des conditions de vie et des préoccupations artistiques, la représentation du monde végétal va s’exprimer sous différentes formes : « mille-fleurs », verdures, cycle des mois et saisons, paysages.

La tradition des « verdures » et « mille-fleurs »
Une « verdure » se caractérise par l’omniprésence d’une nature verdoyante et touffue, qui couvre presque toute la surface tissée. Ces tapisseries, décoratives avant tout, offrent une fenêtre ouverte sur un paysage agréable, évoquant de préférence une forme d’harmonie originelle entre l’homme et la nature.
À la fin du XVe siècle, c’est d’abord la vogue des petites fleurs qui remplissent entièrement les fonds. Leur foisonnement est tel qu’on les dénomme « mille-fleurs ». Leur fraîcheur reflète délicatement la nature et le temps de la vie seigneuriale. Vers 1520 un nouveau décor succède aux mille-fleurs. Il est constitué d’une végétation schématisée dont les grandes feuilles rappellent les acanthes stylisées de l’art grec ou romain. Puis au XVIIe et XVIIIe siècles, la verdure se complexifie aussi bien au niveau de la représentation que de l’iconographie. Elle se remplit d’animaux exotiques et familiers, parfois de personnages et aussi de quelques constructions. Les premiers paysages sont conventionnels, le réalisme n’étant pas la préoccupation principale. Enfin, les peintres (Tenture des Enfants jardiniers de Le Brun), en introduisant la notion de cycle des mois et des saisons, transforment profondément l’aspect de la « verdure ». Avec la Tenture des Saisons, du même artiste, le décor naturel se peuple de dieux mythologiques et, si l’élément végétal subsiste, c’est à titre évocateur et symbolique.

Verdures contemporaines
Le thème de la nature, toujours vivant, revêt des formes renouvelées à travers les créations modernes et contemporaines tissées dans les manufactures nationales des Gobelins et de Beauvais.
Comment la modernité aborde t-elle le sujet et réinterroge t-elle l’idée de nature ? Les « verdures » d’aujourd’hui qu’on découvre dans l’exposition questionnent les nouvelles relations que nous entretenons avec la nature à travers le regard d’une vingtaine d’artistes. La nature y apparaît comme un lieu d’étonnement, de contemplation et d’expérience sensible. Le motif, pris comme source d’inspiration, devient évocation, souvenir d’une sensation. L’artiste donne à voir des détails en gros plan, des détails démesurément agrandis. Ce rapport inhabituel d’échelles, de proportions et d’émotions témoigne d’une expérience personnelle de la réalité de la nature, qui ne passe pas forcément par le réalisme. On peut voir dans de telles approches des analogies avec des technologies telles que la photographie ou la vidéo.

Le parcours de l’exposition
Le parcours ne se veut pas chronologique ; plus qu’une présentation didactique, il s’agit d’une invitation à la promenade dans un cadre de verdure où le passé et le présent se croisent et se répondent par le jeu des variations iconographiques et chromatiques.
Les Saisons de Le Brun conversent avec les Saisons de Lurçat; des « mille-fleurs » du XVe siècle se mêlent aux fleurs sauvages de Dom Robert ou à la végétation foisonnante de l’immense tapisserie, inédite, de Ballif; les verdures et les paysages du XVIe au XVIIIe siècle mêlent leurs frondaisons à celles de Monet, Buri, Hajdu, Alechinsky, Prassinos, Traquandi, ou bien encore avec le jardin d’Alice au pays des merveilles qui inspire Monory…
Plusieurs exemples de chefs d’œuvre de mobilier recouverts de tapisseries à motif floral ou végétal rythment et complètent par ailleurs le parcours (Follot, Gondouin, Gaudissard, Bénédictus et Piot pour la première moitié du XXe siècle ; Aballéa, Couturier, Gette pour le contemporain).

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mai 232012
 

Exposition Arborescences

Agnès Standish-Kentish consacre sa nouvelle exposition au plus jeune designer de sa galerie, Éric Robin, qui s’est fait remarquer lors de sa précédente exposition collective intitulée Or(s). Elle a choisi de présenter son travail onirique dans une scénographie originale imaginée par le paysagiste Christophe Ponceau.

Le titre de cette nouvelle exposition, Arborescences, reflète la thématique des pièces. Car ici, tout est arbre.
Mobilier et luminaires évoquent irrésistiblement un monde végétal et entrainent le design vers l’onirisme et la poésie. Le surréalisme n’est pas loin. Le matériau prédominant est le fer sculpté noir. Il est réchauffé de disques de feuille d’or, comme des évocations de soleils, dans un esprit à la fois graphique et luxueux.

Le vocabulaire visuel de l’arbre est décliné sous toutes ses formes : buissons, brindilles, racines, troncs, floraison qui se transforment en console, guéridons, table basse, lampes et lampadaires. Afin de donner forme à cette nature sculpturale, il fallait un ferronnier d’exception. L’ancien ferronnier de Diego Giacometti, Pierre Basse est le maitre d’oeuvre de ces réalisations.

Pour mettre en scène ces formes dont les pieds-racines s’enfoncent dans le sol, la galerie a fait appel à Christophe Ponceau.
Ce paysagiste a imaginé des fonds constitués de panneaux découpés à partir de dessins d’Éric Robin. Ces panneaux, de différentes couleurs, constituent un entrelac de branches, qui se superposent, et deviennent le décor de la galerie devant lesquels les « arbres » de l’exposition se dressent, silhouettes stylisées qui déploient leurs formes et interrogent notre rapport à la nature.

Il résulte de cette collaboration entre un jeune designer, un paysagiste confirmé et un ferronnier chevronné, un univers qui exprime une vision renouvelée de la nature, à la limite de l’art contemporain.

Exposition du 22 mai au 16 juin 2012
EN ATTENDANT LES BARBARES
35, rue de Grenelle
75007 Paris.
Ouvert du mardi au samedi de 14h 30 à 18h30
www.barbares.com

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avr 202012
 

 

Bahut galbé pivoines de Grange

Tout en rondeurs, ce meuble cultive un esprit résolument romantique, orné de pivoines épanouies. S’il sied aux intérieurs les plus classiques, on aimera aussi le glisser dans un décor ultra contemporain : effet déco garanti !

Les exceptions de Grange proposent des meubles authentiques qui ont une âme, avec une patine unique qui apporte gaieté et décoration dans la maison. Des finitions actuelles ont ainsi été imaginées pour réinterpréter les lignes classiques du mobilier de la gamme. une collection unique, délicate alliance entre savoir-faire traditionnel et créativité renouvelée.

Bahut galbé pivoine, Exceptions de Gange

Exceptions de GRANGE
Bahut galbé Pivoines
Merisier
Dimensions : Longueur 113 cm, hauteur 88 cm, profondeur 50 cm.
Le Groupe GRANGE est présent dans 45 pays, en particulier en Grande-Bretagne, États-Unis, Allemagne, Suisse, Russie, Belgique, Espagne, Italie, Suède, Turquie, Australie, Dubaï, Taïwan, Canada, Chine… Dans le Monde, l’entreprise compte 19 magasins en propre, plus de 60 concessions et environ 150 corners.
Points de vente à Paris et en France.

juil 162009
 

Quand on manque de place, il faut avoir des idées, plein d’idées pour trouver toujours plus de coins où installer ses nouvelles plantes d’intérieur. En passant chez Leroy Merlin, j’ai acheté une étagère télescopique Manhattan, vite installée.

Initialement, cette étagère chromée est vendue pour la salle de bain, où elle s’installe dans un des coins de la baignoire ou de la douche. Le tout sans avoir à visser ou clouer quoi que ce soit. Pour moi, c’est devenu une étagère à petites plantes d’intérieur. Les quatre étagères triangulaires sont étroites et n’acceptent que des petites potées, 10 à 12 cm de diamètre au maximum, mais c’est déjà très précieux. Et surtout, l’ensemble n’occupe pas de place au sol et se loge idéalement entre mes deux battants de porte-fenêtre.

En hiver quand la fenêtre sera le plus souvent fermée, je peux même tourner l’une ou l’autre des étagères pour que les plantes reçoivent le maximum de lumière possible, sans trop gêner celles qui sont plus en arrière (ni cacher le soleil de la chatte frileuse).

Je suis assez content de mon acquisition et de mon détournement, si vite installée…