sept 122014
 

Tour Eiffel illuminée dans la nuit, Paris 7e (75)
Chaque fois que j’aperçois la Tour Eiffel qui se met à scintiller, je suis comme un gosse et je reste quelques secondes à la regarder pour apprécier ce spectacle intermittent dans la nuit parisienne.

Tous les soirs, la tour Eiffel se pare de son habillage doré et scintille pendant 5 minutes au début de chaque heure, tandis que son phare rayonne sur Paris.

sept 122014
 

Henri Delbard, Officier dans l'Ordre de la Légion d'Honneur, Société nationale d'horticulture de France, Paris 7e (75)
Le mercredi 10 septembre 2014, Henri Delbard, Président de la Société Nationale d’Horticulture de France, a reçu les insignes d’Officier dans l’Ordre de la Légion d’Honneur par Monsieur le Président Valéry Giscard d’Estaing, en présence de Monsieur Stéphane Le Foll, Ministre de l’Agriculture, de l’Agro-Alimentaire et de la Forêt, Porte-Parole du Gouvernement.

J’ai eu l’honneur d’être invité à cette cérémonie de remise des insignes d’Officier dans l’Ordre de la Légion d’Honneur qui s’est déroulée dans l’auditorium de la Société Nationale d’Horticulture de France (Paris 7e).

La cérémonie se déroule en trois temps :

  • L’éloge du récipiendaire.
    Le discours est prononcé par la personne qui remet l’insigne (le délégué). Il s’agit selon l’usage de rendre hommage au décoré, rappeler son parcours, ses valeurs et ses engagements, les mérites éminents pour lesquels il est distingué. Ce qui fut fait en premier par Stéphane Le Foll et plus longuement par Valéry Giscard d’Estaing qui avait déjà remis les insignes de Chevalier à Henri Delbard de nombreuses années auparavant.
  • La remise de l’insigne.
    La personne qui remet l’insigne prononce la formule suivante fixée par le Code puis donne l’accolade au décoré : « Au nom du Président de la République et en vertu des pouvoirs qui nous sont conférés, nous vous faisons officier de la Légion d’honneur. »
  • La réponse du décoré.
    C’est pour le décoré le moment d’exprimer ses remerciements devant cette marque prestigieuse de reconnaissance et auprès de tous ceux qui ont compté dans son parcours.
juin 122014
 

Affiche de la conférence sur les oiseaux des jardins, Natureparif
Dans le cadre de son cycle de conférences mensuelles, Natureparif vous invite à rencontrer Grégoire Loïs (Vigie Nature, Muséum National d’Histoire Naturelle), le jeudi 12 juin 2014, de 18h à 20h, dans les locaux de Natureparif.

Un exemple de sciences participatives
Pour la troisième année, le programme de science participatives « Oiseaux des jardins » copiloté par le Muséum national d’Histoire naturelle et la Ligue de protection des oiseaux, offre à chacun la possibilité de s’investir dans un programme de recherches. C’est très simple, chacun est invité à reporter ses observations d’oiseaux des jardins en y associant la durée pendant laquelle ses observations ont été faites, qu’il s’agisse de 5 mn ou de plusieurs heures. En quelques dizaines de mois, plus de 700 000 observations et plus de 10 000 photos réalisées dans plus de 11 000 jardins en France ont été déposées sur le portail du programme.

Les premiers résultats
Grégoire Loïs, de l’équipe Vigie Nature au Muséum, se propose de présenter les premiers résultats issus de cette énorme masse de données amassée grâce aux efforts de tous. Plus de 50 espèces d’oiseaux et 5 petits vertébrés seront présentées et les enseignements tirés des observations ou encore les questions soulevées par celles-ci vous seront exposés. Ainsi, vous verrez comment d’un programme largement participatif, on peut émettre des hypothèses sur l’impact du changement climatique sur le calendrier des espèces par exemple. Ou encore sur le lien entre nos chers chats domestiques et la faune sauvage fréquentant nos jardins.

Natureparif
84 rue de Grenelle, 75007 Paris.
Métro : ligne 12, station Rue du Bac.
Entrée libre et gratuite dans la limite des places disponibles.

mar 192014
 

Affiche de la conférence "Réduire l’usage en pesticides, pour et avec la biodiversité", Natureparif

Dans le cadre de son cycle de conférences mensuelles, et à l’occasion de la Semaine pour les alternatives aux pesticides, Natureparif vous invite à rencontrer François Chiron, Maître de Conférences, AgroParisTech et Université Paris Sud.

Qui n’a pas rêvé d’une agriculture « verte » sans artifice chimique qui puisse à la fois favoriser la biodiversité mais aussi garantir la production agricole ! L’évolution de l’agriculture peut-elle faire marche arrière en revalorisant les fonctions naturelles des écosystèmes pour remplacer pesticides et engrais ? Cette conférence sera l’occasion de faire le point sur cette question. Elle parlera d’impact de l’agriculture et des pesticides sur la biodiversité, mais surtout de réciprocité et de mutualisme, c’est à dire du rôle mutuel que peuvent et doivent jouer l’agriculture et la biodiversité l’un envers l’autre. Au travers d’exemples précis, vous découvrirez les freins, les échecs et les réussites de la mise en œuvre de cette transition agroécologique.

En introduction, Natureparif présentera les dernières évolutions de la cartographie de l’ »objectif zéro pesticide » en Île-de-France, qui met en lumière l’état des pratiques des collectivités franciliennes sur les espaces dont elles ont la gestion. Cette initiative valorise ainsi celles qui se sont affranchies de pratiques très impactantes pour évoluer vers le « zéro pesticide ». Elle a valeur d’exemple et incite les autres collectivités à adopter cette démarche. Elle permet aussi d’en mesurer l’évolution dans le temps et d’identifier les espaces pour lesquels des efforts d’accompagnements restent à faire.

Jeudi 20 mars 2014 de 18h à 20h
À l’auditorium de la Société Nationale d’Horticulture de France (SNHF), au 84 rue de Grenelle, 75007 Paris.
Métro : ligne 12, station Rue du Bac.
Entrée gratuite dans la limite des places disponibles.

fév 062014
 

Affiche de la conférence Villes Nature / Natureparif
Dans le cadre de son cycle de conférences mensuelles, Natureparif vous invite à rencontrer Marc Barra, Écologue (Natureparif) et Jonathan Flandin, Chargé de mission Écologie urbaine (Natureparif).

En 10 ans, l’urbanisation a progressé de 19% en France, faisant de la ville un milieu prioritaire pour la reconquête de la biodiversité. Très minérales, nos villes abritent une nature particulière qui a su s’adapter à cet environnement contraint. Pour autant, de nombreuses fonctionnalités utiles sont perturbées et modifiées du fait de l’étalement urbain, de l’artificialisation des sols ou encore de la fragmentation. Or, les études scientifiques le montrent : accroitre la végétation urbaine améliore la qualité de l’air et protège de l’effet d’îlot de chaleur. Préserver des sols vivants et perméables est indispensable au cycle de l’eau et prévient les inondations. Restaurer les habitats de certaines espèces, comme les pollinisateurs sauvages, est aussi un moyen de se prévenir intelligemment des pathogènes.

C’est pourquoi le thème de « la nature en ville » suscite une imagination croissante et fait réfléchir les écologues.
Au-delà des mots, à quoi ressembleraient concrètement des villes nature ?
Simple verdissement « à la mode » ou accueil de quelques espèces privilégiées ?
Ou s’agit-il de restaurer des fonctionnalités écologiques essentielles pour améliorer la santé et la qualité de vie des citadins ?

La conférence de ce soir présentera les démarches mises en œuvre dans les villes en France et à l’étranger, notamment dans les espaces verts, sur voirie, les parcs et jardins où l’avènement de la gestion écologique marque un tournant majeur qui montre que l’on peut dépasser les approches horticoles classiques par le dialogue et l’expérimentation. Le bâtiment n’est pas en reste et montre qu’il y a matière à innover. Au-delà de quelques actes symboliques (nichoirs, ruches, toitures végétalisées industrielles), un des défis consiste à réviser les documents d’urbanisme pour préserver les continuités écologiques, ainsi qu’à repenser l’architecture des bâtiments pour plus de perméabilité au vivant tout en interrogeant leur contenu en matériaux, témoins de la biodiversité « grise » impactée au-delà du territoire.

Le jeudi 6 février 2014, de 18h à 20h
A l’auditorium de la Société Nationale d’Horticulture de France (SNHF), au 84 rue de Grenelle, 75007 Paris.
Métro : ligne 12, station Rue du Bac.
Entrée libre et gratuite dans la limite des places disponibles.