J’ai refait mon grand terrarium (1,20 m de longueur) en y installant quatre bégonias à feuillages décoratifs plutôt hauts en couleurs. Deux bégonias Rex à feuilles fortement teintées de rouge, un bégonia hybride aux feuilles très découpées et spiralées à la base et Begonia bipinnatifida, un bégonia botanique au feuilles finement découpées comme celles de certaines fougères. Continue reading »
Les fleurs se suivent avec Paphiopedilum ‘Pinocchio’, l’une s’ouvrant quand l’autre se fane, la floraison se prolongeant ainsi pendant des mois. Mais cette fois-ci, ma potée d’orchidée m’a gratifié de deux fleurs simultanément tout en préparant la venue d’autres fleurs déjà, des nouveaux boutons floraux s’étant déjà formés pour prendre la relève.
Je l’ai déjà dit, mais je ne le répéterai jamais assez, cette orchidée est décidément très facile à cultiver et incroyablement florifère. Une valeur sûre !
Début mars, je vous parlais de mon pied de Begonia chuyunshanensis qui avait passé son premier hiver sur mon balcon sans perdre son feuillage, avec la protection d’un voile d’hivernage quand même. En dégageant sa jardinière hier, j’ai remarqué de nombreuses pousses qui sortent de terre à la base des tiges du bégonia.
Le printemps frais n’est décidément pas un handicap pour ce bégonia robuste qui montre déjà les premiers signes d’une reprise de végétation alors que mes Begonia grandis ssp. evansiana ‘Alba’ et mon Hibiscus coccineus sont toujours endormis.
Et il y a de nombreuses pousses tout autour de la touffe. Je n’ai pas encore apporté du compost et des engrais organiques dans cette jardinière très plantée. Mais il va falloir que je le fasse sans trop tarder, car le retour de la douceur devrait encore accentuer la repousse.
Même quand on a besoin de rien, il est toujours intéressant d’aller faire un tour dans les jardineries car les arrivages nous réservent parfois d’agréables surprises. En me baladant hier dans le Truffaut d’Ivry-sur-Seine, j’ai trouvé ce superbe bégonia hybride à feuillage velouté spiralé et complètement noir avec le revers des feuilles pourpre. Trop beau !
Je viens de faire l’acquisition de deux exemplaires de cette plante aquatique fixée sur une roche. Son aspect évoque autant une algue qu’une salade frisottée. Mais en fait c’est une hépatique…
Cette plante aquatique forme un amas dense en forme de coussinet. Elle ne possède pas de vraie feuille, mais des thalles verts (un thalle étant un appareil végétatif ne possédant ni feuille, ni tige, ni racine). Ces derniers ont un aspect de feuilles aplaties. Fragiles, ils se fragmentent facilement. Chaque morceau étant susceptible de redonner une autre plante. J’ai quelques fragments qui se sont détachés et déposés sur le sable, je les ai laissés. On verra bien ce que cela donnera, si l’aquarium est envahi…
D’après ce que j’ai pu lire sur Internet, cette hépatique est assez tolérante pour ses conditions de maintenance en aquarium. À suivre…
Les bégonias Rex aux couleurs de feuillage incroyables ne sont pas des plantes d’intérieur faciles à cultiver et surtout conserver. Mais en plaçant une potée d’une variété rouge framboise près d’une source lumineuse d’appoint dans mon salon, j’ai eu le plaisir de voir la plante se développer avec vigueur, sans d’autres soins que des arrosages réguliers.
Je ne compte plus le nombre de bégonias Rex que j’ai du faire périr à plus ou moins petit feu… Je me suis souvent laissé séduire par un feuillage en sachant pourtant que ces variétés de bégonias sont particulièrement capricieuces en intérieur, surtout quand on n’a pas de véranda ou de serre chauffées. Mais je pensais que mes échecs étaient surtout dus à un manque d’humidité atmosphérique, l’hygrométrie étant plus souvent aux alentours de 50% chez moi que des 80 à 90 % que l’on peut obtenir dans une serre chaude.
J’avais acheté ce bégonia d’un rouge intense pour le placer dans mon grand terrarium que je souhaitais complètement refaire. Faute de temps, j’ai laissé la potée près d’une baie vitrée, mais très vite des feuilles se sont flétries et desséchées. En désespoir de cause, j’ai placé la potée à côté d’un nano terrarium très éclairé où prospère un superbe bégonia africain très délicat : Begonia microsperma (ex Begonia ficicola). Le halo de lumière débordant largement du bac, je me doutais qu’il y aurait assez de lumière pour la potée à l’extérieur. Et visiblement, cette situation a plus à la plante qui s’est vite mise à faire des nouvelles feuilles sans en perdre d’autres.
L’éclairage indirect est assuré par deux lampes Nano Light Dennerle de 11 W.