Après quelques mois de veille, le site internet de l’AFABEGO, association des passionnés de bégonias, vient d’être réactivé et vous attend pour vous faire découvrir de nombreuses photos de bégonias et des informations sur la vie de l’association.
La bibliothèque numérique Hortalia présente les collections numérisées de la bibliothèque de la Société nationale d’horticulture de France.
Retrouvez en ligne près de 300 numéros de périodiques, une centaine de monographies anciennes du XVIème siècle au XVIIIème siècle et de nombreuses gravures et photographies.
Les archives de la SNHF accessibles sur Gallica
Les collections numérisées de la bibliothèque numérique Hortalia sont aussi référencées sur Gallica (bibliothèque numérique de la Bibliothèque nationale de France). Ce référencement devrait offrir une plus grande visibilité aux collections numérisées de la SNHF. Avec pour double objectif la conservation et la valorisation, la bibliothèque avait débuté ses programmes de numérisation dès 2011. Ces programmes concernaient la numérisation de périodiques représentatifs du mouvement horticole français et l’identité de la Société. Par la suite, ce sont des catalogues commerciaux qui avaient été numérisés. En 2012, ce projet de numérisation prenait de l’ampleur avec la signature d’une convention cadre de pôle associé entre la BnF et la SNHF. Grâce à ce partenariat, la SNHF a pu commencer à numériser son fonds de monographies anciennes traitant de botanique, d’horticulture mais aussi de l’histoire et de l’art des jardins. Depuis février 2014, la bibliothèque numérique bénéficie d’une nouvelle interface, plus dynamique, accessible sur www.hortalia.org, et depuis le 9 octobre, vous pouvez découvrir la riche collection de la bibliothèque de la SNHF sur le site de Gallica.
40% des 15-35 ans sont bénévoles. Une jeune startup de l’économie sociale et solidaire répond à cette génération : « Ma ville je t’aide, c’est l’engagement sans engagement ! » comme le résume Nicolas Goudy, CEO et co-fondateur du projet. Une plateforme web de géolocalisation qui permet aux citoyens de découvrir et soutenir en un clic les actions sociales et solidaires pour agir près de chez eux !
Donner un coup de pouce à une association, participer à un événement près de chez soi, soutenir une action sur les réseaux sociaux… nombreuses sont les personnes qui veulent s’engager sans trop savoir où, quand ou comment. Et pourtant, on compte 1 300 000 associations en France (200 000 en Ile-de-France) dont 85 % qui ne fonctionnent qu’avec des bénévoles. Trop souvent, seules les grandes associations bénéficient de visibilité auprès du grand public si bien que se rendre utile peu vite devenir un parcours du combattant. Les petites et moyennes associations locales, quant à elles, agissent au quotidien avec peu de moyens, dans tous les domaines du social et du solidaire (60% des associations fonctionnent avec un budget annuel inférieur à 5 000 euros) et peinent donc à communiquer notamment sur le web. L’idée est donc de connecter les associations locales avec les citoyens aux alentours afin qu’ils réalisent ensemble des actions de bénévolat selon leurs intérêts et disponibilités.
Ma ville je t’aide ! est une plateforme web de géolocalisation, sur site internet et sur mobile, permettant aux citoyens de visualiser en 1 clic toutes les actions sociales et solidaires auxquelles ils peuvent prendre part à proximité. Simplifier grâce au web la prise d’engagement pour participer à des actions solidaires ponctuelles, ne nécessitant ni compétence particulière ni formation préalable. Et pour les plus « overbookés », il est même possible de soutenir en ligne en 30 secondes une cause ou une association grâce à la « e-solidarité », en partageant des actions sur les réseaux sociaux.
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À vos pommes citoyens ! C’est le mot d’ordre des pomiculteurs français pour faire un pied de nez à l’embargo russe.
Des selfruits pour manifester son intêret pour les pommes françaises et lancer un appel : « croquez une pomme française par jour pendant un an ! »
Un « selfruit », c’est une photo, un autoportrait réalisé pendant que le ou la photographié(e) croque dans une pomme, un selfie pour soutenir les producteurs de pommes.
L’opération lancée depuis fin août par Daniel Sauvaitre, président de l’Association Nationale Pommes Poires (ANPP) rencontre un public grandissant sur les réseaux sociaux. Les mille et un visages de nos concitoyens doivent être envoyés avec le hashtag #mapommepourlapomme.
Une page facebook (Ma pomme pour la pomme) et un compte Twitter (@etmapomme) accompagnent le tout.
« Ma pomme pour la pomme » est un geste salutaire à plus d’un titre. Bon pour l’équilibre alimentaire, ce geste est bon pour votre santé et également bon pour soutenir les pomiculteurs de nos terroirs français. D’autant plus que la récolte, qui a déjà commencé dans les vergers français depuis début août, est excellente ! Les 1,5 million de tonnes sont croquantes à souhait. De mémoire de pomiculteur, on estime que cette récolte est exceptionnelle pour les papilles.
Croquez une pomme et prenez vous en photo !
Sur mon selfie, je croque une pomme ‘Reine des Reinettes’, une vraie, délicieuse !
Mis en ligne le 2 septembre dernier, le site Internet de l’académie du fruit et légume se veut le guide de référence sur les fruits, les légumes, les fleurs comestibles, les herbes et épices. Il répertorie toutes les informations utiles et indispensables sur les fruits et légumes : des anecdotes, des idées recettes, des conseils d’achat et de conservation, des informations santé…
Savez-vous que le radis fut l’un des premiers légumes cultivés par les Babyloniens et les Égyptiens qui le consommaient déjà il y a plus de 4000 ans et appréciaient ses propriétés médicinales ?
Le bleuet, fleur comestible, est une source de vitamine C, de potassium, de sodium et de fibres. Il est consommé tel quel ou incorporé aux salades de fruits, aux céréales, crêpes et gaufres.
L’agar agar, qui remplace la gélatine dans nos cuisines, est obtenu à partir d’une algue des mers extrême-orientale et est très appréciée des végétariens qui évitent ainsi la gélatine d’origine animale.
325 fiches proposent de tout connaître sur nos fruits, légumes, algues et fleurs comestibles…
Une lettre d’information hebdomadaire
En s’abonnant gratuitement, l’internaute reçoit, chaque semaine, une lettre d’information pour tout savoir sur un produit de saison : ses caractéristiques, comment l’acheter, comment le consommer, comment le conserver…
Plus d’informations sur www.academiedufruitetlegume.fr
Le Conseil général des Hauts-de-Seine vient de mettre en ligne 48 nouveaux jeux de données géographiques et tabulaires. Cette série de mises en ligne porte à 108 le nombre total de jeux de données hébergés sur la plateforme Open Data Hauts-de-Seine. Cela représente plus de 200 nouveaux fichiers de données répartis dans 12 thématiques et proposés dans plusieurs formats ouverts (CSV, SHAPE, KML, DXF, WMS… ) et sous forme d’API. De nouvelles thématiques ont été créées dans tous les domaines de compétences départementales, dont économie/emploi, culture et éducation/jeunesse.
Parmi les nouveaux jeux de données mis en ligne : l’inventaire de la flore sur le territoire des Hauts-de-Seine et les plans topographiques des parcs et jardins des Hauts-de-Seine. D’une grande précision et d’une grande exploitabilité, ils sont amenés à être utilisés par de nombreux partenaires pour les travaux d’aménagement ou plus simplement pour se repérer dans les parcs et jardins. Les 630 hectares espaces verts du Département accueillent chaque année plus de 10 millions de visiteurs.
Dans le respect des critères de qualité promus par le mouvement d’ouverture des données Open Data, le Département a également réactualisé les jeux de données déjà mis en ligne et les a complétés. L’objectif est de continuer à répondre aux besoins des internautes. Au-delà des métadonnées nécessaires à l’exploitation des fichiers, la plateforme Open Data Hauts-de-Seine propose un descriptif présentant le contexte dans lequel chaque jeu de données a été produit. Cette approche pédagogique permet une meilleure compréhension des informations mises à disposition et favorise leur réutilisation.
Depuis le lancement de la plateforme en janvier 2013, 28330 visiteurs se sont connectés sur opendata.hauts-de-seine.net pour un total de 104 031 pages vues.
L’ouverture des données (Open Data) est un mouvement mondial prônant le libre accès aux informations publiques. Il consiste à publier des données valides, anonymes, librement accessibles, non sensibles et exploitables. Indirectement, l’Open Data est un facteur de transformation de l’organisation. Il permet de faire émerger de nouveaux modes de communication et de travail transverses. Au sein du Conseil général, l’adhésion des agents a été déterminante. Elle a permis de pérenniser les processus de traitement et de mise à jour des données publiques de la collectivité. Dans un souci de transparence et de sensibilisation, la plateforme Open Data Hauts-de-Seine propose, outre les métadonnées nécessaires à l’exploitation des fichiers, un descriptif présentant le contexte dans lequel chaque jeu de données a été produit. Cette approche pédagogique permet une meilleure compréhension des informations mises à disposition et optimise leur réutilisation.