Le fleurissement du rond-point des Champs-Élysées (Paris 8e) est toujours surprenant, ne serait-ce que par sa disposition sur talus tout autour de la place et par les perspectives, notamment sur l’avenue des Champs-Élysées et l’Arc de Triomphe. Pour ce printemps 2011, les parterres ont pris des teintes roses et blanches, avec des primevères en vedettes.

Parterre printanier composé de primevères et pensées, rond-point des Champs-Élysées, Paris 8e (75), fin mars 2011, photo Alain Delavie
Pensées et primevères avec vue sur l’Arc de Triomphe. Très chic !

Parterre printanier composé de primevères, pensées et cinéraires maritimes, rond-point des Champs-Élysées, Paris 8e (75), fin mars 2011, photo Alain Delavie
Tonalités rose vif et blanche, ou plutôt blanc et argenté. Toutes scintillantes sous le soleil radieux. Un peu trop pour l’apn même !

Parterre printanier composé de primevères, pensées et cinéraires maritimes, rond-point des Champs-Élysées, Paris 8e (75), fin mars 2011, photo Alain Delavie
Tout n’est pas encore fleuri, mais le duo de primevères avec quelques pensées par ci par là et les cinéraires maritimes, cela donne une composition printanière en diable.

Parterre printanier composé de primevères, pensées et cinéraires maritimes, rond-point des Champs-Élysées, Paris 8e (75), fin mars 2011, photo Alain Delavie

Parterre printanier composé de primevères, pensées et cinéraires maritimes, rond-point des Champs-Élysées, Paris 8e (75), fin mars 2011, photo Alain Delavie
Quant la densité est importante, l’effet est vraiment très réussi.

Parterre printanier composé de primevères, pensées et cinéraires maritimes, rond-point des Champs-Élysées, Paris 8e (75), fin mars 2011, photo Alain Delavie

Parterre printanier composé de primevères, pensées et cinéraires maritimes, rond-point des Champs-Élysées, Paris 8e (75), fin mars 2011, photo Alain Delavie
Floraisons du premier printemps dont il faut profiter sans plus attendre, car elles ne durent jamais longtemps, hormis celles des pensées, si généreuses.
C’est marrant. Tout à fait Champs Élysée des années 50 comme dans « Un américain à paris ».