avr 172013
 

Espace Le Triangle, Leroy Merlin, devant le Centre Pompidou, au sud de la Piazza St Merri

Du 19 au 21 avril, Leroy Merlin, sur l’impulsion de son agence Havas Média, s’installe devant le Centre Pompidou pour proposer aux passants de réveiller la maison : plus de 300 m2, trois cubes surdimensionnés représentant les pièces de la maison et sur chacune de leurs faces, des expériences sonores et visuelles, interactives et artistiques.

Pendant 3 jours, Leroy Merlin proposera à chacun de réveiller sa maison en musique et en couleurs. Pour cela, la marque frappe un grand coup en créant une maison déstructurée mettant en exergue 3 univers phares de la maison : la cuisine, la salle de bain et le salon. Ces univers sont représentés sous la forme de cubes spectaculaires par leur taille mais aussi par les activités proposées : interactives, participatives, artistiques ou encore musicales.

L’univers de la cuisine
Une structure cubique de 5,60 m de haut par 5,30 m de large où le public sera invité à :

  • Ouvrir une multitude de façades de cuisine, pour y découvrir des sons d’ambiance relatifs à des scènes de vie de cuisine, ainsi que des QR Codes permettant de gagner des cartes-cadeaux Leroy Merlin d’une valeur de 10 €.
  • Découvrir une composition murale spectaculaire réalisée sur un mur en gazon et à partir de mobiliers de jardin de la marque.
    Une cuisine sera mise à disposition du public pour boire un verre, manger des bonbons, aller sur internet, lire… « comme chez soi, dans sa cuisine… ».

L’univers du salon
Une structure cubique de 4 m de haut par 4 m de large permettant de :

  • Entrer dans la peau d’un artiste en arrachant des couches de papiers peints pour au final, créer collectivement une œuvre d’art
  • Jouer au jeu du « Simon » en lumières.
  • Replonger en enfance, en peignant une toile à numéros, de plus de 2 m de haut.
  • Se prendre en photo et se retrouver parmi les portraits de personnalités connues.

L’univers de la salle de bain
Une structure cubique de 3 m de haut par 3 m de large, où les visiteurs pourront :

  • Faire de la musique : en jouant avec des mitigeurs, on actionnera des pommeaux de douche d’où sortiront des vocalises comme lorsque l’on chante sous sa douche.
  • Créer un QR Code géant, réalisé à partir de carrelages en mosaïque.
  • Découvrir une vision artistique de la salle de bains avec une sculpture de baignoires…

Espace Le Triangle, Leroy Merlin, devant le Centre Pompidou, au sud de la Piazza St Merri

Un jardin de 250 m2 sera également mis en place, offrant aux passants un « coin de verdure » dans l’univers urbain de Beaubourg.
Des animations « potager » feront découvrir aux visiteurs du site et à leurs enfants, les plaisirs de jardiner. Chaque participant de l’animation repartira avec un sachet de graines pour fleurir la ville en partenariat avec l’opération « Laissons pousser ».

L’ensemble de ce projet  a été initié et orchestré par Havas Média France dont les équipes de Havas Media OOH coordonnent le projet.
Ouvert au public de 10h00 à 20h00, du vendredi 19 avril au 21 avril 2013.
Espace Le Triangle, devant le Centre Pompidou, au sud de la Piazza St Merri.

mai 112011
 

L’opération « Laissons pousser ! » invite les citoyens à semer des fleurs sauvages sur l’espace public et à porter un nouveau regard sur la biodiversité des pavés.

Opération "Laissons pousser les fleurs entre les pavés"

Affiche de l'opération "Laissons pousser les fleurs entre les pavés", photo Alain Delavie

Cette affiche, rencontrée lors de ma balade dominicale le long de la Promenade verte dans Paris, a excité ma curiosité.
Clic-clac photo et aussitôt rentré chez moi, j’ai fait une petite recherche sur Internet.
Et j’ai aussitôt découvert le site Laissons pousser !

Le projet
Des mini-prairies de fleurs sauvages se mettent à pousser dans les espaces urbains délaissés.
Des myosotis, des violettes et de la pimprenelle tout aussi sauvages attirent les abeilles sur les balcons.
Et c’est vous, habitants des villes, qui les plantez en bas de chez vous ou sur les bords de vos fenêtres.

L’année dernière pour la première édition, une quinzaine de communes étaient de la partie.
En 2011, elles sont une bonne trentaine d’Ile-de-France et d’ailleurs.
Chacune s’engage à distribuer gratuitement à ses habitants les sachets de graines de Laissons Pousser ! et à autoriser les plantations sur des espaces identifiés.
Dans chaque ville, la règle du jeu est différente. Ici, ce sont les écoles qui vont semer, là les amicales de locataires, plus loin, les associations de jardins partagés, ailleurs, les particuliers-jardiniers…

Les graines à semer
On sèmera en 2011 deux types de sachets :

  • Le premier (comme l’an dernier) comporte 18 espèces adaptées à la pleine terre : coquelicot, centaurée jacée, marguerite, chicorée sauvage, millepertuis, mauve musquée… Ce mélange contient 50% de fleurs résistantes, capables de pousser sur un sol pauvre et 50% de graminées, ces herbes folles typiques des prairies.
  • Le second est plus à l’aise dans les pots et jardinières et contient 9 espèces : pâquerette, pimprenelle, myosotis des champs, réséda jaune, violette odorante… Avec un sachet, on sème 3 balconnières classiques et on attire rapidement une multitude d’abeilles et d’insectes.

Chaque sachet permet de semer 1 m 2 de terre au pied des arbres, entre deux coins de bitume, en bas des immeubles, sur les ronds points, sur les bords des routes, sur les terrasses et dans tous les endroits délaissés des villes.

Pour récupérer les graines : les sites de diffusion.

avr 052011
 

Le mercredi 6 avril 2011, la ville de Suresnes (Hauts-de-Seine) se joint à l’opération Laissons pousser ! qui invite les citoyens à semer des fleurs sauvages sur l’espace public et à porter un nouveau regard sur la biodiversité des pavés.

Partant du constat que la biodiversité n’est pas qu’une affaire de grands espaces naturels mais aussi celle des citadins elle veut prouver que même le béton peut se faire accueillant pour la nature sauvage. en créant de véritables jardins de poche. Un objectif plébiscité par les Français qui sont sept sur dix à estimer qu’il n’y a pas assez de végétal en ville (enquête Unep-Ipsos 2010). En Ile-de-France, une personne sur trois regrette de ne pas avoir assez de liens avec la nature et les jardins. L’opération encourage aussi les citadins à investir leur quartier, se l’approprier, le respecter davantage et vouloir l’embellir… Ce peut aussi être l’occasion de réapprendre à observer la nature ordinaire, et, tout simplement d’admirer la beauté d’une rue pleine de fleurs des champs…

De 10h à 12h, esplanade Merlin de Thionville : Laisser pousser sur les balcons
À l’invitation des membres du conseil consultatif du quartier Centre-Ville : Conseils de jardinage pour les habitants vivant en appartement et souhaitant cultiver en jardinière comme s’ils avaient un potager. Les participants recevront un sachet de semis pour gazon fleuri et un plan d’herbes aromatiques. L’opération s’adressera tout particulièrement aux occupants des quatre tours Cités Unies dont la réhabilitation récente a prévu l’installation de balconnières sous les fenêtres.

À partir de 17h : Fleurir les pieds d’arbres
A l’invitation des six conseils consultatifs de quartier, les habitants, munis si possible de leur matériel de jardinage (petites pelles et pioches), pourront, accompagnés par un jardinier, fleurir les pieds des acacias, des frênes, des ormes ou des noisetiers de leur quartier. Et se réapproprier des espaces auxquels on prête peu attention et que l’on a parfois tendance à détériorer.

mar 222011
 

L’opération « Laissons Pousser » redémarre en 2011. Les collectivités partenaires l’an passé sont toujours là pour inviter leurs habitants à fleurir le bitume. D’autres ont rejoint l’aventure. Elles seront une vingtaine au total, d’Ile-de-France et d’ailleurs.

Autre nouveauté, deux types de sachets de graines seront mis à disposition cette année :
– Le premier contiendra un mélange adapté à la pleine terre comme en 2010 (coquelicot, centaurée jacée, marguerite, vipérine, millepertuis, mauve musquée…).
– Le second mélange devrait être plus adapté aux pots et jardinières (pâquerette, matricaire odorante, myosotis des champs, réséda jaune, véronique petit chêne, violette odorante…).
Un choix effectué avec Natureparif, l’agence régionale pour la nature et la biodiversité en Île-de-France, et trois de ses associations membres : Noé Conservation, l’Office pour les insectes et leur environnement et la Maison de l’environnement de Seine-et-Marne.

Une fois encore, le site Internet www.laissonspousser.com racontera les histoires de ces jardins de poche.

À Asnières, l’action se concentrera aux pieds des immeubles.
À Nanterre, sur des espaces collectifs prêts à semer, chacun pourra parrainer une parcelle individuelle.
Dans la communauté d’agglomération des lacs de l’Essonne, des rues entières seront identifiées et jardinées par leurs habitants…

Pour connaître le programme 2011, rencontrer les participants et connaître tous les détails de Laissons Pousser 2011, une conférence de presse est prévue par Natureparif aujourd’hui mardi 22 mars 2011, à 10h30, dans le hall de la Société Nationale d’Horticulture de France (SNHF), 84 rue de Grenelle, Paris 7e.

Le projet Laissons pousser
Des mini-prairies de fleurs sauvages se mettent à pousser dans les espaces urbains délaissés. Des myosotis, des violettes et de la pimprenelle tout aussi sauvages attirent les abeilles sur les balcons. Et c’est vous, habitants des villes, qui les plantez en bas de chez vous ou sur les bords de vos fenêtres.
L’année dernière pour la première édition, une quinzaine de communes étaient de la partie. En 2011, elles sont une bonne trentaine d’Ile-de-France et d’ailleurs. Chacun s’engage à distribuer gratuitement à ses habitants les sachets de graines de Laissons Pousser ! et à autoriser les plantations sur des espaces identifiés. Ici, ce sont les écoles qui vont semer, là les amicales de locataires, plus loin, les associations de jardins partagés, ailleurs, les particuliers-jardiniers…

fév 082011
 

Laissons Pousser 2011, c’est bientôt reparti. En attendant la nouvelle campagne de distribution de graines sauvages (lancement à la mi-mars), la Compagnie Pile Poil nous invite à son dernier spectacle. Rendez-vous donc mercredi 9 février à 16h30 au Sudden Théâtre. Enfants plus que bienvenus.

Le 9 février prochain à 16h30, animation « Buzz Buzz » au Sudden Théâtre.
Jacqueline et Françoise sont heureuses de vous convier au lancement de la tournée nationale du spectacle « Au grand bazar » et à la présentation de la nouvelle collection de graines sauvages…

Demandez le programme !
16h30 Spectacle
18h00 Distribution de graines sauvages et goûter festif

Des graines qui tombent Pile Poil
Au cœur du Grand Bazar, Jacqueline et Françoise sont deux abeilles perdues en ville, en quête d’un hôtel pour insectes. Elles mettront à contribution les spectateurs en leur distribuant en cadeau des sachets de graines de fleurs sauvages. Promis, en échange de tous ces semis volontaires, les abeilles butineront sans compter.

L’objectif de Laissons Pousser ?
Grâce à cette distribution fleurie, les deux abeilles comptent bien entrer en contact avec les humains de tout poil, les sensibiliser de façon festive à la protection de leur espèce et leur confier une mission : semer des fleurs sauvages sur l’espace public et privé.

Pile Poil & Cie
Compagnie de théâtre professionnelle et association à but non lucratif, Pile Poil sensibilise les publics au développement durable, au respect de la nature et aux enjeux de l’avenir de la planète pour favoriser l’émergence d’une citoyenneté active et provoquer l’envie d’agir. Associant l’art clownesque et l’environnement, sa devise est « apprendre en s’amusant » pour qu’écologie rime avec vie… et envie.

Laissons Pousser
Depuis 2010, l’association distribue des sachets de graines de fleurs sauvages, avec des villes et collectivités partenaires. Elle invite ainsi les citadins à fleurir les espaces publics urbains délaissés, pour les inciter à réinvestir leur quartier, observer la nature ordinaire, créer des liens avec leurs voisins…

SUDDEN Théâtre
14 bis, rue Sainte Isaure,
75018 Paris
.
Métro : ligne 4, station Simplon ou ligne 12, station Jules Joffrin.

avr 132010
 

Sept Français sur dix estiment qu’il n’y a pas assez de végétal en ville selon la dernière enquête Unep-Ipsos 2010. Dès ce mois-ci, Paris et plusieurs villes franciliennes verront leurs espaces urbains délaissés se muer en mini-prairies de fleurs sauvages. Toutes ces collectivités se sont inscrites dans l’opération « Laissons Pousser ! » menée en partenariat avec Natureparif, l’Agence régionale pour la nature et la biodiversité en Ile-de-France. Le lancement officiel de la campagne est prévu le 15 avril à 10 h 30, dans les locaux de Natureparif.

Fleurs sauvages en ville

Lin bleu au printemps 2009 dans la rue d'Aubervilliers, Paris 18ème, photo Alain Delavie

Qui ?
Cette année, une dizaine de communes sont de la partie : Paris, Pantin, Aubervilliers, Nanterre, la communauté d’agglomération Sud de Seine (Clamart, Fontenay-aux-Roses, Bagneux et Malakoff), la communauté de communes des Lacs d’Essonne (Grigny et Viry-Châtillon), Valophis Habitat (ex OPAC du Val de Marne), les Parc naturels régionaux du Vexin français (78/95) et du Gâtinais français (77/91)… Toutes ces collectivités et organismes se sont engagés à distribuer à leurs habitants des sachets de fleurs des champs et à autoriser la plantation sur des espaces identifiés. À Paris (75), les sachets seront distribués via le réseau d’écologie urbaine ainsi qu’aux jardins pédagogiques des écoles et des centres de loisirs et aux associations animant les jardins partagés du réseau Main Verte.

Où ?
Au pied des arbres, entre deux coins de bitume, en bas des immeubles, sur les ronds points, sur les bords des routes et dans tous les endroits délaissés des villes. 55 000 sachets ont été édités.

Quoi ?
Des marguerites, des coquelicots, de la vipérine, du millepertuis, de la mauve, de la camomille sauvage… 17 espèces sauvages sélectionnées par un comité technique de naturalistes et distribuées sous forme de sachets (chacun couvrant 1m2).

Comment ?
Chaque collectivité partenaire distribue à ses habitants des sachets de graines et organise avec eux les plantations. Ici ce sont les écoles qui vont semer, là les amicales de locataires, plus loin les associations de jardins partagés, ailleurs les particuliers-jardiniers…  Le site www.laissonspousser.com fédère toutes les initiatives, invite les participants à raconter leurs expériences de semeurs, à observer les insectes qui viennent y butiner. Le site se fait l’écho d’autres expériences liées à la biodiversité des villes.

Avec qui ?
L’association « Laissons Pousser ! » a été créée par Emmanuelle Vibert et Hélène Binet, deux journalistes engagées. Elle est soutenue par Natureparif.