jan 242014
 

Linen Lux, © CELC
CLUB MASTERS OF LINEN, fournisseur de l’excellence lin des éditeurs de PARIS DECO OFF 2014, crée l’événement LINEN LUX : 140 lanternes en format XXL, toutes de lin vêtues installées Rive Droite et Rive Gauche, de la rue du Mail (2e arrondissement de Paris) et la rue Saint-Nicolas (12e arrondissement) à la rue de l’Abbaye, rue de l’Échaudé, Place Furstenberg et rue Jacob (6ème arrondissement).

Tout est réuni pour créer un environnement  propice à la découverte du lin européen dans les collections des 75 éditeurs présents à cette occasion.

Des rendez-vous pour les professionnels et le grand-public :

  • Vendredi 24 janvier jusqu’à 23 h, nocturne portes ouvertes show-rooms, Rive Droite.
  • Samedi 25 janvier jusqu’à 23 h, nocturne portes ouvertes show-rooms, Rive Gauche et Hôtel de l’Industrie
  • Du vendredi 24 jusqu’au lundi 27 janvier 2014, de 9 h 30 à 19 h 30, Hôtel de l’Industrie, exposition photo « EUROPEAN LINEN INDUSTRY » en illustration du thème de Paris Deco Off 2014, « L’Art, la Manière, la Matière, la Main ». Un desk d’information CLUB MASTERS OF LINEN accueille les visiteurs.

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juin 062013
 

LINCROYABLE RÉCOLTE  sur la place du Palais Royal, Paris 1er (75)

Une linière (un champ de lin) a été installée devant le Conseil d’État sur la place du Palais Royal (Paris 1er), face au Louvre. LINCROYABLE RÉCOLTE vous montre le lin dans tous ses états. Un évènement à l’initiative de la Confédération européenne du lin et du chanvre avec une mise en espace de Hilton McConnico. À voir jusqu’au 9 juin 2013.

LINCROYABLE RÉCOLTE  sur la place du Palais Royal, Paris 1er (75)

Et avec le soleil enfin revenu !

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juin 042013
 

Affiche LINCROYABLE RÉCOLTE un champ de lin dans la ville

Le lin est à l’honneur du 4 au 9 juin 2013 en plein coeur de Paris. Sur la place du Palais Royal dans le 1er arrondissement, vous pouvez déambuler pendant  ces quelques jours dans un champ de lin de 1000 m2 orchestré par Hilton McConnico.

Plus de 120 professionnels du lin – agriculteurs, teilleurs, commerçants, filateurs, tisseurs, hommes et femmes de toute la filière seront présents pour vous expliquer cette culture si européenne et si méconnue. Avec pour signe de reconnaissance un tablier rouge en lin, made in Europe bien sûr !

LINCROYABLE RÉCOLTE : une mise en scène signée Hilton McConnico.
Place du Palais Royal, face au Musée du Louvre, Paris 1er (75).
Exposition grand public du 4 au 9 juin 2013.
Entrée gratuite de 10h à 19h.
Métro : lignes 1 et 7, station Palais Royal.
Le blog : www.lincroyablerecolte.com

juin 202009
 

À l’occasion de la saison de la floraison du lin, la 1ère ferme éphémère Bleu-Blanc-Cœur accueille tous ceux qui veulent comprendre l’origine de la filière et les bonnes pratiques de ses agriculteurs engagés et engageants.

Un rendez-vous unique, ouvert au grand public à la Maison de l’Aubrac, 37, rue Marbeuf, 75008 Paris. Du champ à l’assiette, un parcours d’apprentissage pour tous, avec au programme de ce week-end :

  • Visite d’une véritable ferme reconstituée,
  • Découverte des métiers de production agricole,
  • Rencontre avec les porte-parole et des éleveurs de l’association,
  • Des explications claires et simples pour petits et grands,
  • Des ateliers destinés aux enfants et aux parents et…
  • Point d’orgue de ces journées, dégustation de produits Bleu-Blanc-Coeur, nutritionnellement et gustativement améliorés, pour se faire du bien tout en se faisant plaisir !

L’Association Bleu-Blanc-Cœur :
Il y a quelques années, des éleveurs ont constaté qu’en réintroduisant le lin et d’autres sources végétales traditionnelles riches en Oméga 3 (herbe, luzerne, lupin…) dans l’alimentation des animaux, l’ensemble de la filière de production agricole offrait des produits naturels, savoureux, bons pour la santé (moins gras et plus équilibrés en oméga 3) et pour la planète. Ce qui est bon pour les animaux est bon pour l’homme ! Créée il y neuf ans, l’Association Bleu-Blanc-Coeur organise aujourd’hui ces filières de productions grâce à 280 adhérents :

  • Comme valeur clé : l’accessibilité du plus grand nombre à une alimentation de qualité.
  • Comme fondement : la double obligation de moyens et de résultats.
mai 052009
 

Le terre-plein central de la rue d’Aubervilliers (Paris 18e), non loin de la porte du même nom et du boulevard Ney d’un côté, de la rue de Crimée de l’autre, offre un joli tapis d’herbes sauvages parsemé de lin bleu. Vision bucolique surprenante dans Paris…

Les petites taches bleu ciel qui oscillent au moindre souffle de vent ou de courant d’air provoqué par le passage incessant des véhicules est un pur enchantement, dans un endroit qui n’a rien d’enchanteur… Circulation intense, bouchons fréquents dus au passage sous le pont de chemin de fer bien trop étroit, véritable goulet d’étranglement (avec vélos et scooters sur les trottoirs, pourtant très étroits), pollution due au gaz d’échappement des voitures, des camions et des locomotives roulant au diesel. Rien de charmant dans cet endroit, hormis ces petites fleurs…

Et voici donc l’explication, à cet endroit l’herbe va pousser librement et sera entretenue dans le respect de l’environnement. Pour limiter la pollution par les désherbants chimiques… Une action qui s’inscrit dans la politique de gestion de la Direction des Espaces Verts et de l’Environnement de la ville de Paris, qui a été profondément remaniée ces dernières années pour s’inscrire dans une gestion environnementale durable des espaces verts parisiens. Une gestion écologique encadrée par la certification ISO 14001.

Les papillons et autres insectes butineurs vont y trouver leur compte, les passants aussi. Moi je trouve ça très agréable quand je passe le matin avant d’aller m’enfermer dans mon bureau…

L’an dernier, j’avais vu quelques pieds de lin bleu au pied de la grande bibliothèque François Mitterrand, dans le 13è.Et vous, en avez-vous repéré ?

mai 092008
 

Avec le retour du soleil et de la chaleur, une envie irrépressible de jardiner et de planter sur mon balcon se fait plus pressente, urgente même car il plus que temps de s’y mettre pour que l’été soit fleuri. Le 8 mai étant férié, mais les jardineries étant toutes ouvertes, je décide donc de partir à la recherche des quelques plantes fleuries qui vont venir boucher les trous dans mes jardinières déjà bien remplies.
Et c’est là que l’aventure commence, car mon balcon ne reçoit le soleil que le matin. C’est un jardin d’ombre, de mi ombre plutôt. Je voulais des bégonias ‘Dragon Wing’, une variété particulièrement robuste et florifère, rien de comparable avec les petits bégonias à massifs.
Mes ballades les semaines précédentes sur le quai de la Mégisserie et l’Île de la Cité ne m’ayant pas permis d’en trouver.Je suis donc parti hier matin à 10 h, pour prendre le métro à Ourcq (ligne 5), direction Gare du Nord, correspondance avec le RER B direction Laplace à Arcueil (94). Beaucoup de monde sur le quai du RER pour un jour férié. Les valises souvent énormes trahissent les vacanciers en transit. J’arrive à monter dans la rame, le voyage se déroule assez rapidement.
Arrivée à Arcueil, petite marche dans l’avenue Laplace pour atteindre le centre commercial de la Vache-Noire, récemment ouvert avec un nouveau magasin Truffaut. Bel espace, presque désert en cette matinée du 8 mai, un peu plus de monde dans la jardinerie, mais nous n’étions pas bousculé. Et là, première déception : pas de bégonia ‘Dragon Wing’, quelques barquettes de bégonias semperflorens, quelques potées non fleuries d’impatiens… A Arcueil, les jardins sont tous ensoleillés semble-t-il ! Je regarde du côté des jardinières, étant à la recherche d’un modèle demi lune, idéal sur petit balcon. Beaucoup de pots ronds, de grands contenants design, mais pas ma petite suspension. Dépité, je repars après avoir flané dans les magasins de vêtements déserts.
Retour à la station Laplace, RER B pour revenir à Denfert-Rochereau où je change pour prendre la ligne 6, direction Nation. Je descends à la station Quai de la Gare, pour un tour dans le seul et unique Truffaut de la capitale, la plus grande jardinerie intra-muros. Là, beaucoup plus de monde, la matinée était bien avancée, les jardiniers parisiens avaient eu la même idée que moi. Une belle partie de slalom dans les allées encombrées, je tourne, je vire… Et je finis par trouver dans un coin non loin des caisses cinq pieds de ce fameux bégonias. 3 rouges, la couleur que je recherchais, 2 roses que j’ai laissé. J’en voulais 6, tant pis, je ferai avec. Au passage je trouve des petits cuphéas blancs (Cuphea hyssopipfolia), un petit arbuste au feuillage luisant et aux minuscules fleurettes blanches ou pourpre, souvent utilisé en intérieur ou en bonsaï, alors qu’il pousse très bien en pot dehors à l’abri du soleil brulant. Je ne trouve pas ma suspension, mais j’ai mes plantes. Au passage, le plant de bégonia ‘Dragon Wing’ dans un godet de 0,8 l, donc un jeune plant un peu plus développé qu’en barquette, m’a couté 4,30 euros (soient plus de 28 de nos anciens francs). Pas mal non ?
Je ressors, décidé de pousser l’aventure jusqu’au Truffaut d’Ivry-sur-Seine, de l’autre côté du périphérique au début de l’avenue François Miterrand. A pied, cela fait une trotte et il faut passer sous le périph, pas très engageant même par un soleil magnifique. Car si les arbres au pied de la bibliothèque sont joliment fleuris de lin bleu, il n’en est pas de même plus on s’avance vers les limites de Paris.J’arrive à prendre un bus, le 325, qui fort heureusement est arrivé presque en même temps que moi à l’arrêt rue Tolbiac (un jour férié, c’était une chance). Et hop, en deux temps trois mouvements, il me dépose devant le centre commercial. Quelques marches et j’arrive dans la jardinerie où il y a affluence et profusion de fleurs. Mais pas de bégonia ‘Dragon Wing’, encore moins d’impatiens Spellbound, cette super variété retombante, créée il y a deux ans maintenant… Mon tour a été rapide, décidément les jardins ensoleillés sont les grands privilégiés, les jardiniers de l’ombre devant se contenter des sempiternelles petites impatiens crevardes en été par temps trop chaud et sec ou des petits bégonias (où sont les belles variétés à grosses fleurs, à fleurs doubles ?), de quelques fuschias invariablement violet et rouge, parfois rose ou rouge et blanc, bien sûr sans aucun nom de variété. Bref, une gamme courte, miniature !
Je continue mon expédition en passant chez Leroy-Merlin, derrière le magasin Truffaut. L’offre de plantes est plus que limitée, des géraniums en grande partie, en promotion certes. Mais je trouve ma fameuse suspension demi lune. Qui me coute quand même la bagatelle de 10,50 euros (et oui, presque 70 de nos anciens francs) pour un pot de quelques litres, la soucoupe et le support !Je quitte le magasin et me pointe à l’arrêt du bus 325, au pied de l’énorme déchetterie, toute fumante de ses deux tours sur un fond de ciel azur resplendissant. Attente 13 mn annoncée, puis changement pour 33 mn. Le lieu n’est pas spécialement palpitant, je décide de rentrer dans Paris à pied, en longeant le quai de la Seine. Trottoirs cahotiques et longue distance pénible à faire au soleil. Et bien sûr, à mi chemin je me fais doubler par un bus arrivé bien avant les 33 mn affichées. Je décide donc d’attendre à l’arrêt suivant. 21 mn affichées (vivent les transports en commun ! Surtout un jour férié). Longue attente, le vent est agréable, il y a eu plus pénible. Et le bus arrive. Nous sommes deux à l’arrêt, je fais signe au chauffeur. Et le bus nous passe allègrement sous le nez sans s’arrêter !!!
Furieux, je repars à pied pour aller chercher le métro de la ligne 6, station Quai de la gare. Et commence le long retour vers le 19ème, je suis épuisé. Ce périple à la recherche du bégonia perdu m’a pris toute la matinée et le début de l’après-midi. Il faut aimer jardiner !
Je comprends maintenant pourquoi les fenêtres et les balcons parisiens ne sont pas plus fleuris. Il faut être passionné dingue pour courir autant et il faut aussi un porte-monnaie bien rempli pour se faire plaisir…